Dans le cadre de son projet Privacy Sandbox, depuis longtemps au cœur des discussions des acteurs du marché, la fonctionnalité FLEDGE (First Locally-Executed Decision over Groups Experiment) a vu le jour. Mais depuis son lancement, seulement 5 vendeurs technologiques ont exprimé un intérêt envers cette solution. Le problème ? Il s'agit de tester une solution encore inconnue, dont trop peu de retours existe et qui plus est, ne donne pas toutes les informations attendues par les agences, notamment des informations de conversion. Un problème de taille pour FLEGDE, dont l'objectif est d'aider les agences à continuer le retargeting publicitaire après la fin des cookies tiers.
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Google News Showcase arrive enfin en France. Après avoir été lancée dans plus de 20 pays depuis déjà 2 ans, cette nouvelle fonctionnalité débarque sur le marché français. Mais quesaco ? News Showcase est une nouvelle vitrine pour les éditeurs sur la page d'actualité du moteur de recherche. Celle-ci permet à 65 éditeurs de proposer des fenêtres d'affichage avec leurs contenus, directement auprès des internautes.
Pour les éditeurs partenaires, il s'agit d'une opportunité de taille : une rémunération possible sur les contenus affichés, et une possibilité de toucher une nouvelle audience et avoir ainsi de nouveaux abonnés.
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Snapchat s'effondre de près de 30 %. La cause ? La mise en place par Apple de l'App Tracking Transparency (ATT) qui réglemente la confidentialité des utilisateurs en obligeant les éditeurs d'application à recueillir le consentement des propriétaires d'iphone afin de collecter et partager leurs données avec des tiers. Avec cette nouvelle réglementation, 90 % des utilisateurs refusent de partager leurs données. De ce fait, Snapchat a opté pour l'option SKAdNetwork d'Apple, permettant d'éviter l'affichage de la pop up de consentement mais impactant ainsi les informations que l'application peut récupérer. Cela a donc un impact important sur la diffusion de publicités ciblées, première source de revenus de Snapchat.
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Ca y est, après de multiples rebondissements, Elon Musk a finalement racheté Twitter pour 44 milliards de dollars.
Désormais à la tête de l'application, le patron de Tesla a commencé à faire un premier tri parmi les dirigeants de l'application en licenciant le PDG ainsi que 3 autres directeurs. Bien qu'il avait annoncé vouloir également licencier près de 75 % des effectifs de l'entreprise, il a rassuré les employés en expliquant que cela n'arrivera pas. Si l'origine de son rachat était pour libérer la liberté d'expression sur la plateforme, il affirme ne pas toucher à la politique de modération du réseau, car sans cette modération, les annonceurs pourraient renoncer à faire de la publicité sur la plateforme, et ainsi impacter le revenus de Twitter, composé à 90 % de la publicité. Une répartition du revenu assez instable, qu'Elon Musk souhaite sûrement rééquilibrer notamment avec la mise en place d'abonnement mensuel pour les comptes certifiés. Un moyen de commencer à diversifier les revenus et protéger ses arrières.
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